“MANGE EMOI”,
l’exposition de la photographe Amandine Giloux s’installe, cet été à Arles dans la nouvelle maison de la décoratrice Claude Cartier sous l’impulsion de Manifesta Lyon,
Arles, la ville culturelle par excellence, accueillera en 2023 la première exposition personnelle de l’artiste Amandine Giloux, intitulée “Mange Emoi”. En effet, cette jeune artiste française, présentera une série de photographies inédites composées d’une quinzaine d’images aux chromies fortes, au ton espiègle, et au langage surréaliste. Le regard et l’esprit naviguent entre différentes couches de réalité, dans des endroits de poésie et de gourmandise. Amandine veut offrir de nouveaux récits, qu’ils soient intimes ou engagés.
Pour y faire écho, la galerie photo lyonnaise POLTRED, située cours liberté dans le 3ème arrondissement de Lyon exposera la série QUEER NATURE, issue du travail d’Amandine Giloux, pendant toute la période estivale. « Mange Emoi est une exposition photographique dans laquelle je poursuis le gimmick food qui m’anime. Je m’amuse à chahuter les codes de l’univers de la table, à travers un rapport au charnel, ochair et chair se confondent. Enrobées d’absurde, d’humour et cachées derrière une forte puissance symbolique, ce sont des histoires particulières que je raconte, parfois intimes, parfois sociales, empreintes d’un regard féministe. »
Découvrez l’univers enchanteur de la talentueuse Amandine Giloux !
Si vous êtes un amateur d’art ou tout simplement curieux de découvrir de nouveaux horizons, l’exposition “Mange Emoi” est un rendez-vous que vous ne devez pas manquer. Vous pourrez admirer les images d’Amandine Giloux, mais également échanger avec l’artiste, qui sera présente lors de l’exposition pour répondre à vos questions et partager son expérience.
Nous espérons que cet article vous a donné envie de découvrir l’exposition “Mange Emoi” d’Amandine Giloux à Arles en 2023. N’hésitez pas à préparer dès maintenant votre visite et à réserver votre place pour ne pas manquer cet événement unique en son genre. Nous sommes sûrs que vous en garderez un souvenir magique et inoubliable !
Informations pratiques :
du 1er au 15 juillet et en septembre sur rendez-vous.
NICHE by Claude cartier. 28 rue de la roquette 13 104 Arles
MANGE EMOI chez NICHE
Un nouveau lieu d’expérimentation à Arles
Arles la belle, s’émancipe, s’illumine, s’extrait de son passé pendant l’été. Là, vibre le cœur de cette ville antique sur un fond d’expositions photographiques multiples. Il y a tant de choses à voir, à découvrir. Ici, chez Claude Cartier, c’est le goût de l’aventure qui la pousse à aménager un tout nouveau lieu d’expérimentation et à accueillir l’exposition photographique proposée parCéline Melon Sibille, fondatrice de Manifesta Lyon. Vous allez aimer découvrir ce trio entraîné dans une histoire d’amitié, de rencontres et d’amour de l’art. Une idée, un projet prend du temps à se concrétiser. Ici nous parlerons de continuité et d’envies conjointes bâties depuis leur ville natale, Lyon. Manifesta devient un point d’ancrage et scelle les relations entre ces 3 femmes de l’art. Elles avaient envie de raconter une histoire ensemble. La nouvelle maison de Claude devient un espace d’exposition temporaire propice pour ce projet et sans doute pour de futures créations.
Claude Cartier rêvait depuis longtemps d’un nouveau projet de vie à Arles, elle trouve la maison de ses rêves et décide d’en faire une lieu d’expérimentation artistique.
Ce lieu d’inspiration, elle l’appellera NICHE car depuis longtemps elle entend que ses propositions et son positionnement décoratif s’inscrivent dans un segment de NICHE. La définition architecturale nous rappelle que ce nom à fonction d’abriter un objet, un tableau, une sculpture. Il existe cette sensation de protection qui lui confère une deuxième légitimité à son envie d’ultime refuge.
Après plusieurs mois de travaux Claude s’est inventée une nouvelle manière de vivre en dehors du temps et choisit comme une parenthèse d’ouvrir les portes de sa nouvelle maison arlésienne, située dans le charmant quartier de La Roquette, au numéro 28.